La fraude aux remboursements de frais de santé est estimé à 13 milliards d'euros chaque année.
Un investissement sera fait dans le renforcement des contrôles et des détections. L'IA sera utilisé pour faciliter le travail de croisement de données.
La digitalisation de la carte vitale biométrique et la dématérialisation des ordonnances seront accélérées pour être efficace au plus tôt.
Les sanctions seront plus dissuasives et les fraudes seront médiatisées.
Coût estimé : 8 milliards d'euros avec un retour potentiel de 13 milliards d'euros.
Cette mesure fera économiser à l'état près de 5 milliards d'euros.
Une fois les fraudes traitées, on pourra augmenter le remboursement des soins pour atteindre une prise en charge à 100% sans exception pour les français.
Cela passera par la fusion de la sécurité sociale et des mutuelles avec un système unique qui évitera la double administration.
De manière progressive, les remboursements à 100% seront élargis en fonction du budget de l'état.
Il est donc question d'une refonte en profondeur du système de santé.
Coût estimé à 10 milliards d'euros pour son lancement.
Une fois fusionnée, la cotisation de la sécurité sociale sera augmentée en lieu et place de la cotisation des mutuelles.
Ce qui permettra pour un même budget d'obtenir de plus nombreuses prestations.
Je souhaite relocaliser la production des principes actifs pour les médicaments en France.
Actuellement, environ 80% de ces produits sont fabriqués en Inde ou en Chine.
Je développerai la chimie verte dans des pôles industriels pharmaceutiques dans notre pays.
Ce sera possible par des investissement dans la filière ainsi qu'une sécurisation par l'état des approvisionnement des stocks stratégiques.
En produisant localement, les prix des médicaments diminueront et le surplus profitera à la coopération européenne.
L'état soutiendra financièrement les projets industriels relocalisant ces production.
Tous les étudiants en médecine verront leurs frais universitaires, matériel et logement financé à 100% par l'état.
Cela représentera un gros investissement pour le domaine de la santé mais qui permettra de rendre ces métiers plus accessibles aux jeunes souhaitant s'engager dans cette voie mais n'ayant pas les moyens avec le système actuel.
Coût estimé : 900 millions /an
Le budget le plus important de la santé est le salaire de ses agents. Sans un salaire à la hauteur de l'enjeu, il ne sera pas possible de garder et de rendre attractif ces métiers.
Une meilleure rémunération des agents hospitaliers sera appliquée à hauteur de 200€/mois afin d'améliorer leurs conditions de vie.
Coût estimé : 3 milliards d'euros.
L'augmentation du nombre de médecins va permettre à la France d'obtenir un plus grand nombre de médecins à partir de 2028.
La limitation du nombre d'étudiants en médecine continuera à être augmenter jusqu'à ce que l'offre atteigne la demande.
Je m'engage donc dans la continuité des mesures déjà débutées de l'augmentation des quotas d'étudiants en médecine.
L'activité sportif doit être mieux valorisée.
Le dispositif Pass'sport offrant 50€ / enfants sous conditions sera augmenté.
Chaque enfant bénéficiera d'un montant de 250€ au lieu des 50€ initialement prévu.
Coût estimé : 350 millions d'euros (- 70 millions déjà prévu)
Les heures d'activités sportives dans les établissements scolaires seront doublées également.
Augmentation les sensibilisations sur les risques pour la santé, par plusieurs actions :
- Intégrer l'éducation à la santé dès le plus jeune âge dans les programmes scolaires : nutrition, activité physique, prévention du tabagisme, gestion du stress.
- Créer des ateliers interactifs et des jeux éducatifs pour rendre les apprentissages plus ludiques et impactants.
- Organiser des événements comme des marches de santé, des ateliers de cuisine saine, des concours sportifs ou des festivals de bien-être pour sensibiliser sur les comportements à adopter pour préserver la santé.
Coût estimé : 255 millions d'euros pour la mise en place (50 millions par an après)
Pour lutter contre les zones sans médecins (déserts médicaux), les jeunes médecins seront répartis dans les secteurs en difficulté dès la fin de leurs études en priorité.
Les pharmaciens et infirmiers en pratique avancée (IPA) continueront à bénéficier de droits accrus en fonction de leur compétence. Des formations permettant de prendre en charge certaines pathologies et la prescription de certains vaccins et médicaments seront multipliées.
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